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Tour des Alpes Suisse : bien plus qu’un stage – une histoire à vivre

  • Photo du rédacteur: Josua Daladoire
    Josua Daladoire
  • 5 mai
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 6 mai

On ne “visite” pas vraiment les Alpes suisses à vélo. On y entre. Lentement. En soufflant fort. Un lacet après l’autre. Mais derrière les paysages grandioses et les cols mythiques, il y a autre chose : une expérience qui marque. Pas seulement les jambes, mais le regard, les sensations, la manière d’être sur la route. Ici, pas de discours publicitaire. Juste un aperçu de ce qu’un tour des Alpes Suisse à vélo fait vraiment vivre, entre effort, émotion et découverte de soi.


La première montée – le silence, le doute, les 8 %.


Ça commence souvent dans la brume du matin. On s’élance, jambes fraîches, cœur gonflé. Peut-être le Nufenen. Peut-être la Furka. Le genre de col qui ne pardonne pas.


Théo, un de nos guides, le dit souvent : “Le premier col, il remet tout le monde à sa place.” Très vite, le groupe s’étire. On ne parle plus. On respire. On souffre un peu.


Puis, un déclic. Le souffle se cale. La vue se dégage. On croise un regard, un sourire. On n’est pas seul.


 Une journée type – entre effort et réconfort.


Un stage vélo dans les Alpes suisses, ce n’est pas “pédaler – dormir – recommencer”. C’est une chorégraphie.


Le matin : Une vallée silencieuse, un café en terrasse où le patron connaît déjà le guide.


En fin de matinée : Le ou les grands cols.Toujours un van à portée si besoin, ou un camarade pour tenir la roue.


L’après-midi : Une pause pique-nique près d’un lac. Une descente grisante, technique, inoubliable.


Le soir : Une auberge typique. Du fromage local. Et cette phrase qui revient souvent : “Je ne pensais pas que j’en étais capable.”


Ce ne sont pas que les cols – ce sont les gens


Ce qui donne une âme au stage, ce ne sont pas les pourcentages. Ce sont les visages.


Clara, qui a gravi son premier col après un an de préparation. Jules, venu en solo, reparti avec trois amis.

Et les guides ? Des locaux. Des passionnés. Ils ne font pas qu’ouvrir la route – ils la racontent. Un raccourci ici, une halte gourmande là, une blague pour alléger les jambes.


On ne vient pas que pour les kilomètres. On vient pour l’énergie du groupe, la fatigue partagée, la sensation d’être à sa place. Conclusion : AlpineVélo, ce n’est pas un stage. C’est un souvenir en construction.



On ne promet pas que ce sera facile. On promet que ce sera inoubliable. Ce n’est pas une aventure pour spectateurs. C’est pour ceux qui veulent vivre les Alpes — de tout leur corps, de tout leur cœur.

Toi aussi tu souhaite faire le tour des Alpes Suisse ?

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